Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas.
Les semaines se suivent et ne se ressemblent pas.
Aucune surprise. Je suis toujours en retard. Pas plus en retard que la semaine dernière. Je n’ai hélas pas eu le temps de me refaire du retard cumulé. Le travail me prend tout mon temps. Il y a tellement de monde au musée en ce moment, que je n’arrive même pas à me dégager une petite demie heure par jour pour essayer de travailler mon texte.
Cependant, il y a un point positif. Je prends beaucoup de notes, et mon histoire s’affine, les caractères se précisent, le tout s’étoffe.
Point positif, je prends des notes
Je suis en retard, mais je donne de l’épaisseur au livre, je prends les notes sur les résumés imprimés.
Je ne suis pas certain de finir dans les temps, mais avec l’avancement des semaines, je me rends bien compte que la méthode fonctionne. Je ne peux même plus en douter.
La méthode fonctionne
Je ne me suis jamais senti aussi productif. J’ai une quantité impressionnante de débuts de livre, pour lesquels, je n’ai jamais pris le temps, et dont je n’ai jamais eu l’envie de poursuivre l’écriture. Maintenant, je sais pourquoi.
Il est maintenant évident que je vais pouvoir m’y remettre sérieusement. Je ne dis pas que chaque début donnera un livre, mais au moins je vais pouvoir les transformer en pitch que je pourrai essayer de transformer en synopsis dès que ce livre sera terminé.
De nouveaux projets fleurissent
En plus, j’ai en projet d’écrire un livre pour enfant. Un nouveau projet que je dévoilerai en temps voulu.
Donc, pour le défi 100 jours pour écrire un livre, le bilan de la semaine 3 est plutôt positif, malgré le retard, minime, puisque j’ai rédigé l’intégralité du deuxième chapitre. Bon, pas si minime, puisque j’aurai du aussi terminer le troisième.
Allez, j’arrête ici ce compte rendu afin de me remettre à l’écriture du troisième chapitre, et pourquoi pas du quatrième.