J’aime écrire depuis toujours, enfin du plus que je m’en souvienne. Pourtant, je ne suis pas un as de l’orthographe, mais je me soigne. J’aime inventer des histoires, j’aime imaginer la vie de mes personnages, j’aime croire que je suis maitre de leur destin alors qu’ils vivent leurs histoires par eux-mêmes. Il y a un moment dans l’écriture où les personnages m’échappent, ils ne vont pas où je le souhaitais et c’est tant mieux.
je ne suis pas un auteur célèbre, je ne le serai peut-être jamais et ce n’est pas grave, même si secrètement comme toutes les personnes qui écrivent je rêve d’écrire le best-seller qui changera ma vie d’auteur, mais dans le monde de l’édition, il y a peu d’élus, et c’est certainement ce qui me fait rêver.
Techniquement, j’ai mis un point final au premier jet de mon quatrième livre, il est encore couché uniquement sur mes cahiers, il va me falloir le relire attentivement. Ensuite, je vais devoir le taper à l’ordinateur. Je vais le laisser se reposer encore quelques temps avant de me replonger dedans pour le corriger encore une fois, traquer les incohérences, les fautes de syntaxe, de conjugaison, d’orthographe, même si certaines m’échapperont, c’est mon côté dyslexique mais pas démissionnaire. Je travaille mes lacunes en lisant d’autres ouvrages, les règles de grammaire que parfois je ne comprends pas, et par conséquence que je ne retiens pas.
Le deuxième livre que j’ai terminé, enfin presque puisque je fais encore des corrections à chaque fois que j’ouvre le fichier et déjà proposé en lecture chez les éditeurs. Il est déjà chez ErosOnyx depuis quelques mois, ils ont eu confiance en moi et avaient publié mon première ouvrage Rouge Quinacridone, Chronique d’une renaissance en 2017.
Le troisième livre est dans la phase de la deuxième correction, je traque les incohérences, et j’en ai trouvé. Je traque aussi les fautes et là aussi il y en a. Mais quand j’écris mon premier jet, je ne fais pas cas de l’orthographe et de la syntaxe, je fais sortir l’histoire, mes personnages, mes idées. Surtout que pour celui-là, j’ai travaillé directement sur l’ordinateur pensant gagner du temps et en réalité, j’en ai perdu, car je suis encore rétro et je préfère le papier pour les plus grosses corrections.
Bien entendu, je fourmille d’idées pour les prochains ouvrages, il ne me manque qu’un peu de temps et d’organisation et surtout de lutter contre la procrastination.
Je vous tiendrez informés de la suite des évènements.
A bientôt,
Créativement vôtre.